mon chiot aboie la nuit

Répondre Lancer une nouvelle discussion
12/09/2010, 13h01
bonjour à tous,
voila j'ai un gros problème : j'ai un chiot golden retriever d'un peu + de 2 mois et dès qu'on ne joue pas avec lui ou qu'on est trop loin de lui il aboie, il pleure etc... Je vous laisse donc imaginer les nuits lorqu'il est seul dans la cuisine dans le noir ... Smiley
Je suis donc à votre écoute pour tout conseil ou toute solution !
Répondre
12/09/2010, 18h20
bonjour j ai eu la meme chose avec mon chiot il ne fesait que aboier et hurler quand on etati pas la ou pendant la nuit et nous se qui a marcher c est qu on a mit un t shirt a nous dans son panier et depuis il ne pleure plus du tout et surtout ne descend pas quand il pleure laisse le aboier ou alors se sera foutu c est ce qu on ma conseiller et sa marche tres bien depuis je dort toute mes nuits et les voisins aussiSmiley
Répondre
12/09/2010, 18h27
Smiley le t shirt avec l ordeur.
__________________

Marraine De Chanel Smiley
http://uppix.net/7/d/b/3100a40757f49...ace2a85155.jpg
Répondre
12/09/2010, 18h28
Tu peux lui laisser un peu de lumière s'il fait trop noir ou un son comme la radio. Effectivement un tee shirt aussi.
Tu peux aussi lui mettre un petit collier dap (qui sert notamment éviter que les chiots ne stressent trop)
Ne descend pas parce que tu l'encourages ainsi à recommencer. Il se dira qu'il a raison de pleurer puisque tu viens.
Mais c'est encore un bébé, il a un peu peur. En principe ça ne dure que pas longtemps.
Répondre
16/09/2010, 10h58
oui un t shirt qui a ton odeur dessus sa le rassure moi sa a durer 1 semaine edemie pour qu il ne pleure plus mais maintenant je peux meme le laisser sans t shirt il ne pleure plus
Répondre
16/09/2010, 11h23
Nous dés la 1ère nuit chez nous il est resté tranquille, on s'est dit c'est trop beau la nuit d'après c'est obligé il va faire du bazar... mais finalement non c'est la 3me nuit et on ne l'entend pas! Smiley

Je me dis qu'on a de la chance sur ce coup là... Smiley
Répondre
16/09/2010, 11h45
Un petit chiot quitte (sauf s'il vient d'une animalerie) sa mère et souvent sa fratrie pour se retrouver dans une maison entourée d'inconnus.... normal qu'il panique un peu... mais ça dure rarement longtemps
Répondre
16/09/2010, 13h36
Salut Pourspike,

C'est possible que tu lui manques Smiley Tiens un petit lien utile sur un site d'éducation canine qui t'en diras un peu plus sur l'aboiement du chien.

@+ et bon courage
Répondre
16/09/2010, 21h34
J'ai eu mon border (6 ans maintenant) alors qu'il était tout petit. On voulait qu'il s'habitue à dormir dans le garage, mais il pleurait, aboyait, dès que venait le moment de dormir. Alors, on a essayé de mettre notre chat avec lui, et après quelques nuits ensemble, ils étaient totalement habitués l'un à m'autre. Maintenant, même si parfois le chat s'en va, mon border fait ses nuits !!!
Répondre
17/09/2010, 02h51
J'ai trouvé ceci sur le et j'ai trouvé intéressant:

Pourquoi certains chiens aboient-ils quand ils sont seuls et les autres pas ?

Les « racines du mal » sont souvent dans le jeune âge de l’animal, et les conditions que l’on a pu lui offrir ou pas, de découvrir assez tôt qu’il pouvait survivre décollé de ses êtres d’attachement.

Un chiot propulsé dans l’univers de la famille qui l’accueille, est un petit être qui vient de perdre les seuls repères de vie sur lesquels il s’était construit en quelques semaines : sa mère, sa fratrie, ses éleveurs (dans les bonnes conditions d’élevage !)

Après le stress d’un voyage en voiture et la découverte de la « nouvelle planète » où il débarque, le chiot n’a d’autre choix que reporter sur son nouveau groupe, l’attachement qu’il avait pour l’ancien.

Et le voilà qui colle aux talons de ses nouveaux maîtres, ravis eux-mêmes de susciter un si bel attachement !

C’est ce vif désir mutuel d’échanges et de contacts, que l’on devra vite gérer adroitement, pour initier le chiot (avide autant que nous de présence) à un peu de solitude. Cela passe d’abord par faire naître sa confiance, et sur cette base d’assise, on pourra orienter le chiot vers un apprentissage du « vide effrayant » de l’absence de ses nouveaux êtres d’attachement


Les premières nuits d'un chiot sont à bien gérer

Ce sont les premières nuits qui sont très difficiles pour le chiot, qui généralement vocalise sa détresse s’il est isolé sans aucune transition. Pleurs et aboiements auxquels on finit par céder, parce qu’insupportables la nuit aussi bien pour le voisinage que pour soi-même. Or, céder aux vocalises du chiot, lui apprend maladroitement qu’il faut aboyer pour obtenir !

Pour ne pas se trouver dans ce ficelage, il est préférable d’anticiper sur cette détresse vocale, en gardant le chiot près de soi la nuit dans son panier, et c’est en journée que l’on choisira de l’initier progressivement à être un peu seul dans une pièce, quand on est dans une autre.

Bref : pour ne pas précipiter un chiot dans un désarroi bien légitime, ne le laissons pas seul dès le lundi matin, quand on est allé le chercher à son élevage le samedi ! Organisons méthodiquement notre avenir avec lui pour une commune tranquillité.

1er temps : Initier la confiance



Le désarroi d’un très jeune chiot de 2 mois est très atténué, s’il reste dormir les premières nuits dans la chambre de ses maîtres (dans son panier et non dans le lit). Le fait de n'être pas isolé le rassure, il peut dormir (et ses maîtres aussi !) Pas de déambulations anxieuses en semant ses déjections partout, pas de pleurs ou hurlements...

Cette situation doit être provisoire, et il faudra savoir instaurer une distance en éloignant le panier jusque dans une autre pièce, pour assurer le futur bon équilibre du petit animal.

Un chiot acquis à 3 mois ou plus (et moins fragile émotionnellement qu’à 2 mois) peut ne rester que quelques jours dans la chambre, le temps d’évacuer le stress de son arrivée en terrain inconnu, et de tisser un nouveau lien d’attachement.



2è temps : Initier à l’absence



Parallèlement, lorsqu’on est présent en journée à la maison, on peut vaquer à quelques courtes occupations dans une pièce en maintenant le chiot dans une autre, afin de l’exercer à la solitude. Le temps de prendre une douche, aller aux toilettes ou passer un coup de fil, on peut ignorer complètement les éventuels pleurs ou aboiements (à ces heures ils sont supportables par le voisinage). Seulement quand le chiot est calmé, on réapparaît sans en faire un événement, donc sans lui prêter attention. Petit à petit on allonge le temps passé dans les autres pièces, puis plus tard on peut même sortir pour de petites courses. Le chiot se familiarise ainsi progressivement au banal de ces calmes allées et venues, et constate que les absences sont toujours suivies de retours (surtout sans spéciales effusions de joie !)

Quand il sait un peu rester seul sans stress en journée, c’est le moment de l’éloigner la nuit en mettant son panier hors de la chambre, et s’il y a quelques aboiements il faudra les ignorer absolument.

Pas de « chut » ni de « ça suffit ! » à ce stade, il doit avoir déjà observé qu’il ne lui sera pas répondu et il se calmera vite.

Dans le quotidien de la relation, en s’abstenant de répondre aux diverses sollicitations de caresses ou de jeux du chiot, mais en étant soi-même à l’initiative de tout échange et sans abuser des contacts avec lui, on évite qu’il soit d’autant plus en manque quand on s’absentera.

L’objectif d’avoir un chiot (et plus tard un chien) paisible quand il est seul, passe par ne pas être constamment en interaction et « collage » avec lui quand on est présent, ce qui est souvent l’inverse de ce que pratiquent les maîtres qui s’éloignent de nombreuses heures pour leur travail ! Un animal nourri de constantes interactions en notre présence, est d’autant plus soumis au vide immense et brutal produit par notre absence !

A retenir

Surtout, ne jamais sanctionner un chiot qui gémit ou aboie comme il est encore souvent conseillé, par exemple en le « secouant tenu par la peau du cou, soi-disant comme sa mère » ! Un chien ne fait cela que pour tuer une proie ! Ce serait donc bien plus que l’agresser sévèrement.

J’en profite pour souligner que toute brutalité sur un chiot et plus tard sur un chien, est une bien piètre et méprisable technique d’apprentissage ! A part faire passer sa colère sur lui, on ne lui apprend pas un autre comportement que celui pour lequel on le rudoie. J’ajoute qu’il ne faut pas hésiter à considérer comme nuisibles, les personnes qui avancent de tels conseils !

A méditer également sur l’usage de collier anti aboiement... outil qui se révèle bien abusif sur un chien en train d’exprimer une détresse ! (mon avis sur ce type de matériel: Question d'un internaute: "Mon chien aboie...que me conseillez-vous: collier anti-aboiements électrique ? à la citronnelle...?")

Le comportementaliste aidera s’il le faut, pour conduire ce travail d’organisation avec un chiot ou de réorganisation du quotidien avec un adulte, qui ne sait pas gérer sa solitude.

SOURCE Texte publié dans la revue Atout chien n° 249 de novembre 2006

http://www.communicanis.com/aboiements-solitude.html
__________________
http://uppix.com/f-image53e68e0c0017374e.jpg
Marraine de Chipie,Patton,Dolmène,ELLY,IAGO,Goliath.
Smiley"VESTA" et "NEWTON" partis rejoindre nos anges en Janvier 2013 Smiley
Répondre
17/09/2010, 09h09
Très bien ! Mais est-ce qu'après les premières nuits que le chiot aura passé dans la chambre, il est possible de lui en interdire l'accès ? Peut-être qu'il ne comprendra pas, puisqu'il y avait le droit avant... ?
Répondre
17/09/2010, 09h28
bonjour
trop drole ton pseudo Smiley

en fait tu eloigne le panier progressivement jusqu a le mettre a l entrée de ta chambre ou plus lin si tu le souhaite
au quotidien interagit avec ton chiot (jeux , papouille)mais ne repond pas systematiquement a toutes ces solicitations ,ne le surpapouille pas ,ne le surptotege pas non plus afin qu il devienne autonome

Smiley
Répondre
Lancer une nouvelle discussion